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“Les gouvernements africains doivent purger leur secteur de la santé de ces injustices et inégalités.”

Fati N'Zi-Hassane
Directrice d'Oxfam en Afrique
Contact information:

Victor Oluoch | victor.oluoch@oxfam.org | +254 732 178 158

Simon Trepanier | simon.trepanier@oxfam.org | +39 388 850 9970

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Notes to editors:
  • Téléchargez les rapports d’Oxam intitulés : « Sick Development» (en anglais). Un résumé en français sera disponible sur demande.
  • Les institutions de financement du développement analysées dans les rapports sont le British International Investment (BII, anciennement CDC) du gouvernement britannique, la Deutsche Investitions- und Entwicklungsgesellschaft (DEG) d’Allemagne, Proparco pour la France, la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Société financière internationale (SFI), branche du secteur privé du Groupe de la Banque mondiale.
  • La SFI et les IFD européennes investissent dans 42 des mêmes intermédiaires financiers et 112 des mêmes entreprises de santé privées.
  • D’après l’Organisation mondiale de la Santé et la Banque mondiale, le nombre de personnes confrontées à des dépenses de santé catastrophiques ou entraînant leur appauvrissement se situait entre 1,366 milliard et 1,888 milliard de personnes en 2017. Si on divise 1,888 milliard par 31 536 000 secondes (soit le nombre de secondes contenu dans une année), cela représente 59,8 personnes par seconde.
  • D’après E. Suzuki, C. Kouame et S. Mills (2023), le nombre de mères qui meurent pendant la grossesse et l’accouchement a soit stagné soit augmenté depuis que les objectifs de développement durable ont été adoptés.
  • L’Éthiopie a utilisé l’aide au développement avec succès pour faire chuter la mortalité maternelle de plus de 70 %.
  • Dans les pays à revenu faible et à revenu intermédiaire de la tranche inférieure où la lutte contre la mortalité maternelle à l’accouchement est une priorité, 90 % des soins de santé sont pourvus par le secteur public, et 8 % par le secteur privé. Téléchargez le rapport d’Oxfam intitulé « Services publics ou fortunes privées ? » pour en savoir plus.