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Contact information:

Alain Nkingi à Goma | ANkingi@oxfam.org.uk |+243 971 254 502 

Fatuma Noor, à Nairobi | Fatuma.Noor@oxfam.org | +254 723 944682 

Simon Trépanier, en Italie | Simon.Trepanier@oxfam.org | +39 388 850 9970 

Notes to editors:
  • La prise de Bukavu par le M23 intervient alors que les dirigeants africains se réunissent aujourd'hui (samedi) au sommet de l'Union africaine à Addis-Abeba. La crise a déclenché des mouvements massifs de population, des milliers de personnes ayant fui leur domicile aux premières heures du vendredi 14 février. 
  • En RDC, Oxfam travaille à Goma, Minova, Masisi, Lubero, Beni et Mahagi. Le personnel d'Oxfam rapporte que treize sites de déplacement à Goma, accueillant 450 000 personnes, ont été vidés et ensuite détruits, pillés ou démantelés. Les treize sites sont : Baraka, Buhimba, Bulengo, 8th Cepac Mugunga, Kayarucinya, Kibati, Lushagala, Lushagala Extension, Lwashi, Rego, Rusayo 1, Rusayo 2 et Rusayo Extension. 
  • Oxfam travaille à la restauration des infrastructures essentielles et au traitement des fosses septiques afin de fournir de l'eau et des installations sanitaires aux communautés affectées de Goma. Les effets de la réduction du financement de l'USAID empêchent une réponse urgente pour 300 000 personnes déplacées dans et autour de Goma, avec de l'eau potable, de la nourriture et des services de protection pour les femmes et les filles. Le financement à long terme des agences humanitaires pour soutenir les familles touchées reste incertain. 
  • La RDC continue de lutter contre les effets dévastateurs de l'épidémie de Mpox, qui a fait des victimes et mis à rude épreuve un système de santé déjà fragile. 
  • L'Agence américaine pour le développement international (USAID) est le principal bailleur de fonds humanitaire en République démocratique du Congo (RDC). Un rapport de l'année dernière indique qu'elle a fourni plus de 838 millions de dollars pour la seule année fiscale 2024, dont 414 millions de dollars spécifiquement pour les besoins humanitaires résultant du conflit en cours et des déplacements. 
  • Des photos de sites abandonnées et d’infrastructures détruites sont disponibles sur demande.